Carla Bonavent étudie aux beaux arts de Rennes en option Art (quatrième année).
Avant d’arriver au beaux arts de Rennes elle étudiait les lettres modernes à la faculté de Toulouse, la littérature tient une place importante dans son travail.
Elle est originaire de Perpignan où elle a fait toute sa scolarité dans une école et un
collège bilingue catalan (La Bressola).
Elle a suivi une formation au concervatoire de Perpignan et de Toulouse dans l’option
théâtre, et a suivi des cours de danse expérimentale au Triangle.
Elle n’a pas envie de se définir par une spécialité, mais plutot d’inventer sa pratique, il s’agit d’une pratique hybride, mouvante, en perpétuelle évolution, comme un cours d’eau qui mêle dessin, théâtre, sculpture, écriture, danse, vidéo, et d’autres médiums qui viendront surement s’y ajouter ou s’inventer.
Elle a participé en 2018 à l’Atelier de Recherche Créative MOUVE en partenariat avec le Musée de la danse dans lequel elle a découvert une façon de travailler qui l’a beaucoup aidée à développer ses projets grâce à la découverte du travail des intervenants (Yaïr Barelli et Marcelline Delbeck), la dynamique de groupe, les prises de risque, mais aussi par la restitution au public.
Elle a participé à différents workshop et a été bénévole pour différents organismes (* voir liste en bas de page), se sont des expériences qui ont été très fortes et importantes pour elle qui l’ont ensuite amené à co-organiser la première et seconde édition des Ateliers du Risque (workshop de rentrée à initiative étudiante à l’EESAB) ainsi que l’évènement « Un Max de Fun » à la ferme de Quincé qui mêlait arts visuels et musique.
Lors du festival l’Arène Théâtre à Rennes en 2018 elle a travaillé sur la scénographie du spectacle de Lucile Barriou et a effectué les changements de décor.
Elle a effectué un stage avec La Collective en 2018 à l’Ecomusée de Rennes, et en 2019 avec Simon Poligné pour le montage de son exposition « L’imaginaire bruyant » au PHAKT et des interventions en classes de collège à Rennes.
Elle est porteuse du projet de création d’une récupérathèque à l’EESAB avec deux autres étudiantes de l’école suite à une rencontre avec la fédération des récupérathèques à St Etienne.
En 2018 avec deux autres étudiantes de l’EESAB (Louise Rauschenbach et Valentine Roze) elles créent le collectif ROK qui vise à donner l’impulsion, créer des situations, mettre en place des événements pour réunir dans l’énergie créative.
Carla Bonavent